La première fusée imprimée en 3D échoue à atteindre son orbite

La troisième tentative n’aura pas été la bonne. La première fusée imprimée en 3D a décollé mercredi de Cap Carnaval, en Floride aux Etats-Unis, mais a échoué à atteindre son orbite en raison d’une « anomalie » pendant la séparation du deuxième étage, selon une retransmission en direct.

La troisième tentative n’aura pas été la bonne. La première fusée imprimée en 3D a décollé mercredi de Cap Carnaval, en Floride aux Etats-Unis, mais a échoué à atteindre son orbite en raison d’une « anomalie » pendant la séparation du deuxième étage, selon une retransmission en direct.

Ce troisième échec fait suite à deux précédents essais annulés à la dernière minute à cause de problèmes techniques.

Cette mission, baptisée « Good luck, have fun » (« Bonne chance, amuse-toi bien », en français), est scrutée de près car les fusées imprimées en 3D pourraient représenter une petite révolution dans l’industrie du lancement.

La fusée Terran 1, de la start-up californienne Relativity Space, devait recueillir des données et démontrer qu’une fusée imprimée en 3D pouvait résister aux rigueurs du décollage et des vols spatiaux.

Au total, 85% de la masse de la fusée a été imprimée en 3D, et l’entreprise vise les 95% à l’avenir.

Hors-sujet : :nerd_face: Au passage, le niveau de maîtrise de la langue en général et en particulier par les journalistes/médias ne finit pas de tomber dans les abysses des échecs de l’Education Nationale - ou de l’éducation tout court.

C’est la première fois que je vois écrit : « Le Cap Carnaval » par des guignols de l’infos (pas les marionnettes enfin si mais pas celles de Canal+ :wink: )

Je sais bien que le Carnaval était le 21-mars-2023, mais c’est pas une raison, fichtre de fichtre.