Il n’y a pas souvent de bonnes nouvelles dans ce domaine.
Le préfet de police de Paris, Didier Lallement, « doit cesser, sans délai, de procéder aux mesures de surveillance par drone des rassemblements de personnes sur la voie publique », a décidé la plus haute juridiction administrative.
Le Conseil d’Etat avait été saisi par l’association La quadrature du net (LQDN) qui s’inquiétait de l’usage de drones « à des fins de police administrative ». Déjà en mai, la juridiction administrative avait interdit l’usage de drones pour surveiller la capitale durant le déconfinement.