Le trou noir de FTX à fait peur à Binance, même pour 1 $ symbolique, sauf erreur. Ca sent les millairds partis en fumée, mais pas perdus pour certains. L’Histoire est un éternel recommancement. A l’époque de la ruée vers l’or, il est bien souvent dit que ceux qui ont fait fortune sont les vendeurs de pelle et de piolet, voire les vendeurs de nourriture. Quelle est la version moderne? Les vendeurs de carte graphique et de hardware pour miner les crypto$? Ou les gestionnaires de portefeuille de celles-ci?
Je suis plutôt favorable aux bonnes choses théoriques des crypto$, le tout est que la mise en oeuvre réelle m’interroge. Peut-être faut-il attendre la deuxième génération? Si l’environnement le permet… Nous verrons.
Ca fait plaisir au Figaro :
Nul doute que les économistes traditionnels se réjouissent également.
ou au moins faire s’interroger les BFMcryptos
Bon, au dernières nouvelles, si quelqu’un à 9,4Tera USD, ça peut aider SBS qui a un plan :
FTX cherche 9,4 milliards de dollars pour combler sa chute
18:40 : D’après Reuters, Sam Bankman-Fried cherche à rassembler 9,4 milliards de dollars pour sauver FTX. Il envisage de lever environ 1 milliard de dollars auprès de Justin Sun (Tron), 1 milliard de dollars auprès d’OKX, 1 milliard de dollars auprès de Tether et 2 milliards de dollars auprès d’un consortium de fonds d’investissement. Le reste proviendrait d’autres investisseurs non communiqués.
FTX sera-t-il sauvé?
C’était écrit dessus
Je trouve quand même marrant que SBS ait porté un nom qui me semble prophétique : Bankman-Fried. 
- Bankman ~ Bank manager = Banquier
- Fried = Grillé, explosé, éreinté, à plat, vidé
Et ce n’est pas un pseudo. En tous les qas, il pourrait postuler au Guiness des records, avec la perte de place la plus importante en un jour dans le Bloomberg Billionaires Index.
Bankman-Fried was born in 1992 on the campus of Stanford University into a family of academics. Born and raised to an upper-middle-class Jewish family in California, he is the son of Barbara Fried and Joseph Bankman, both professors at Stanford Law School.